Rhapydionina aff. dercourti, Fleury, 2014
publication ID |
https://doi.org/ 10.5252/g2014n2a1 |
DOI |
https://doi.org/10.5281/zenodo.5465740 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/03FC091E-FFAD-C578-FCB6-FF365489FB32 |
treatment provided by |
Marcus |
scientific name |
Rhapydionina aff. dercourti |
status |
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Rhapydionina aff. dercourti View in CoL
( Fig. 13 View FIG )
La population GGB183 About GGB accompagne C. hellenica dans son gisement type (localité « FC » in Fleury1980: 112, fig. 36). Le sédiment est un calcaire grainstone riche en Milioles ; 56 lames minces livrent plus de 100sections, dont plus de 50 centrées ou subcentrées. Une autre partie du matériel a été déposé lors de la création de C. hellenica auprès de la Faculté des Sciences de Lyon sous les numéros FSL147854 View Materials à 870 View Materials .
Tests A. Le proloculus de petite taille (0,10 ± 0,02mm) est suivi d’une spire plane de 1,5 à 2 tours et de huit loges au maximum formant une PRU cylindro-conique; une seule section ovale a été observée ( Fig.13M View FIG ). Comme il est habituel,la spire est d’autant plus courte que le diamètre du proloculus est grand, mais ici de manière exacerbée en raison du large champ de variation de la taille du proloculus (comparer Fig. 13D, H View FIG ). La «courbe Nc/D» est située en position intermédiaire entre R. dercourti n. sp. et R. fourcadei n.sp. ( Fig.9);elle souligne le petit diamètre des loges, qui n’atteint pas 0,7 mm. L’unique section axiale observée ( Fig. 13B View FIG ) ne montre que quelques cloisonnettes et aucune trace d’endosquelette central dans la partie spiralée. Celui-ci est cependant bien développé dans les loges de la PRU( Fig.13A, C View FIG ,F-H).
Tests B. Bien que trop ténue pour être lisiblement figurée, la partie centrale de la section Figure 13K View FIG est de type miliolin à l’examen direct. Il s’ensuit que, selon toutes probabilités, ce test vraisemblablement aplati représente la génération B.
Cette population s’apparente à R. dercourti n. sp. par la petite taille de tous ses éléments, son stade déroulé cylindro-conique, ses cloisonnettes peu nombreuses. Elle s’en distingue cependant par son bâti léger, son stade involute relativement réduit, presque parfaitement planispiralé chez les tests A et sa «courbe Nc/D » ( Fig. 9).
Rhapydionina à tests A cylindro-coniques et/ou aplatis
Pas plus que dans les cas précédents, les types de PRU ne sont précisément fixés.On décrira ci-dessous trois populations qui n’ont probablement rien en commun, sinon soit de présenter les deux types de configurations, soit de laisser planer un doute sur la morphologie de leur PRU. L’une d’elles est assez bien connue pour fixer un type de référence.
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.