Dysideopsis palmata, Topsent, 1896

Topsent, Émile, 1896, Spongiaires de la baie d'Amboine. (Voyage de MM. M. Bedot et C. Pictet dans l'archipel Malais.), Revue Suisse de Zoologie 4 (3), pp. 421-487 : 482-483

publication ID

https://doi.org/ 10.5962/bhl.part.35507

DOI

https://doi.org/10.5281/zenodo.5539681

persistent identifier

https://treatment.plazi.org/id/03D9BB78-9468-FFF7-FCE5-276CBB36F869

treatment provided by

Diego

scientific name

Dysideopsis palmata
status

sp. nov.

Dysideopsis palmata n. sp.

PI. XX, fig. 25.

Éponge dressée, aplatie, mince, découpée sur son bord supé- rieur en digitations obtuses, comprimées, inégales. Surface couverte de très petits conules serrés, lisse dans les intervalles. Couleur blanche. Consistance ferme, souple, un peu élastique. Orifices invisibles.

L'unique spécimen recueilli, incomplet par le bas, est un peu enroulé sur lui-même; il est large de 30 mm. à la base et se découpe vers le haut en cinq digitations plates, obtuses, longues de 3 à 15 mm., larges de 2 à 6 mm. Son épaisseur, partout la même, est seulement de 1 mm, 5. On ne voit d'oscules ni sur ses bords, ni sur ses deux faces. Les pores eux-mêmes, de 30 à 50 «a de diamètre, restent invisibles à l'oeil nu. Les conules, très nombreux et répandus sur toute la surface, ne dépassent pas mm mm,2 de hauteur; ils sont distants les uns des autres de,5. L'ectosome est couvert de corps étrangers, grains de sable et spicules divers. Les fibres sont blanches, cassantes, épaisses de 50 à 200 p., réticulées, et chargées partout de corps étrangers, autour desquels la spongine déborde fort peu.

Une Algue cyanophycée, semblable à une Oscillaire est répandue dans toutes les régions du corps.

Darwin Core Archive (for parent article) View in SIBiLS Plain XML RDF