Khaya anthotheca (Welw.) C. DC.
publication ID |
https://doi.org/ 10.5252/a2017n1a2 |
DOI |
https://doi.org/10.5281/zenodo.4770224 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/FB06E104-FFCC-FFC3-FEA8-F9B1FB31FC9D |
treatment provided by |
Carolina |
scientific name |
Khaya anthotheca (Welw.) C. DC. |
status |
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Khaya anthotheca (Welw.) C. DC. View in CoL
Monographiae Phanerogamarum 1: 721 (1878); Exell & Mendonça, Conspectus Florae Angolensis 1 (2): 307 (1951). — Garretia anthotheca Welw. View in CoL , Apontamentos Phytogeographicos: 587 (1859), ‘anthoteca’, «Habit. in silvis primitivis District. Golungo Alto, imprimis in Sobato Mussengue.».
— Type désigné ici: F.M. Welwitsch 1314, Angola, montagnes de Queta [m. de Queta , fl. IV.1856], fl., IV.1856 (lecto-, BM [ BM000799818 ]!) .
ANCIENS SYNTYPES. — S.loc., s.d., fl. & j. fr., F.M. Welwitsch 1314 (syn-, K[K00432187]! ; isosyn-, st., COI[ COI00005208 !] ; st., K[K004321188]!, st., LISU[ LISU206318 !] ; F.M. Welwitsch 1314, Golungo Alto, montagnes de Queta ( Golo. Alt. montes Queta ), s.d., fl. (syn-, LISU[ LISU206312 !], excl. frgt. fr. ; s.loc., fl. (isosyn-, G [ G00382667 ]!, deux parts, P[P06674532, P06674534]!) ; F.M.Wel - witsch 1314, Golungo Alto, montagnes de Queta ( Golu. Alto . m. d. Queto ), s.d., st. (syn-, LISU[ LISU206314 !]) ; F.M. Welwitsch 1314, Golungo Alto, [Gol. Alt.], s.d., infl. (syn-, LISU[ LISU206317 !] ; F.M. Welwitsch 1314, forêts de Queta [sylvis de Queta ], fr. et gr., 18.XI.1855 (syn-, LISU[ LISU206315 !]) ; F.M. Welwitsch 1314, Golungo Alto, fl. (syn-, 18.XI.1855, II.1856, PRE! ; isosyn-, Serra de Alto Queta , II.1856, fl. M[M-0108665!]) ; F.M.Welwitsch 1314, Golungo Alto, gr., 1857 (syn-, K[K00432186]!) ; F.M. Welwitsch 1314, Angola, Loanda , XII.1858, gr. (syn-, BM[BM000799819]! ; isosyn-, [D. de Gol. o Alto], LISU[ LISU206313 ]!, s.loc., s.d., st. LISU[ LISU206319 ]!) ; F.M.Welwitsch 1314, Loanda , gtion., XII.1858 (syn-, LISU[ LISU206316 ]!).
REMARQUE
Le matériel original de Welwitsch est largement composite: pas moins de 18 parts sous le même numéro 1314 ont été repérées dans les herbiers et la banque d’images JSTOR. Comme il n’a pas été possible d’associer au lectotype tous les doubles déposés dans les herbiers, la principale raison étant l’impossibilité de les examiner tous, avec de plus des discordances sur les dates, localités et phénologies, nous les avons considérés comme des syntypes. Nous avons fait le choix, pour des doubles d’un syntype distribués entre BM et d’autres herbiers, de privilégier BM comme lieu de dépôt du syntype, puisque cet herbier héberge le premier jeu des parts ayant servi à la rédaction de Apontamentos Phytogeographicos ( Hiern 1896; Albuquerque et al. 2009). Nous faisons de même pour LISU, qui est le deuxième herbier pour l’importance des collections de Welwitsch.Dans certaines situations délicates à trancher à partir des seules images pour la mise en concordance des parts, à cause d’informations absentes sur la localité, la date ou d’un mélange évident du matériel collecté (par exemple, des feuilles d’un jeune pied avec des fleurs ou des fruits), nous avons laissé séparées de telles parts plutôt que les rassembler à tort au sein d’un même syntype. Par ailleurs, Welwitsch a effectué des collectes entre novembre 1855 et décembre 1858 et ne les a pas toujours annotées clairement. De plus, le soin variable apporté aux collections dans les différents herbiers a pu ajouter à la confusion. Il était ainsi habituel de renseigner précisément une seule étiquette, de laisser les doubles avec une information minimale (collecteur et numéro de collecte) et de négliger le report des données originales avant envoi dans d’autres institutions. Il a pu ainsi en résulter des planches avec des étiquettes aux informations contradictoires sur les localités ou les dates. Enfin, pour ne pas alourdir davantage cette opération et contrairement aux autres situations, nous avons laissé la numérotation originale en l’état, sans y ajouter un suffixe [A], [B], etc., ce qui aurait obscurci à son tour la situation.
Exell & Mendonça (1951), dans le traitement de Khaya , indiquaient «BM, tipo». Dans la mesure où il existe deux parts du n°1314 de Welwitsch, l’acte nomenclatural n’est pas effectif. Le choix du lectotype portera donc sur l’une des deux. La part BM000799818 est constituée d’une feuille et d’une inflorescence (apparemment incomplète), on y trouve en haut à gauche, une étiquette avec une longue description sur les caractères foliaires et floraux, ainsi que la note:« Hab. in sylvis editior.primit. M. de Queta C. fr. Febr. C. fl. Apr. 1856 »; une seconde étiquette, en bas à gauche, avec une description plus courte sur les caractères foliaires et la note: «Absque floribus in sylvis de Queta editioribus» et la date 18.11.1855.Ces deux étiquettes sont donc dans un conflit de dates et on peut, soit suspecter une planche comprenant une feuille et une inflorescence collectées à deux dates différentes, soit considérer que la part est homogène, mais que l’étiquette signalant l’absence de fleurs n’appartient pas au matériel fixé sur la planche. La part BM000799819 est constituée d’une feuille et de deux graines. Une étiquette centrée vers le haut porte l’indication: « Anthotheca – Folia adulta In sylvis Sobti Mussengue Junio 1856 »; une seconde étiquette, en bas à gauche: «Junge Pflanze von Garettia mit noch anhängenden Samen.Schalen. – Loanda Dcbr. 1858 [Transl. Young plant of Garettia with seed vessels still hanging.– Loanda Dcbr. 1858]. ». Sur cette même étiquette, mais d’une autre écriture: «without accompanying specimen; no seed in the study sent specimen ». On peut attribuer la première étiquette à la feuille et la seconde aux deux graines qui appartenaient à un fruit dont elles sont le seul élément restant, ou au contraire, estimer que feuille et graines vont ensemble avec l’étiquette Loanda décembre 1858 et considérer l’autre étiquette « Sobti Mussengue juin 1856 » comme intruse.
Pour ces deux parts, il est difficile de choisir parmi toutes les possibilités. C’est donc en reconnaissant une part d’arbitraire que nous choisissons BM000799818 comme lectotype, avec l’hypothèse que la petite étiquette du 18.11.1855 est à exclure de la planche.Pour BM000799819, nous retenons l’hypothèse d’une part non composite avec la date de décembre 1858.
Khaya euryphylla Harms View in CoL , Notizblatt des Königlichen botanischen Gartens und Museums zu Berlin 3 (28): 169 (1902), « Kame- run: Johann-Albrechtshöhe. (Staudt n. 677. Blühend im März 1896)».
— Type désigné ici: A. Staudt 677 (877 à K), Cameroun, Kumba ( Johann-Albrechtshöhe ), fl., III.1896 (holo-, B†; lecto-, K[K000094091]! ; isolecto-, G [ G00414647 ]!, P[P00453253]!) .
REMARQUE
Les Meliaceae de Berlin ayant brûlé, le type de cette espèce a disparu. Nous choisissons la part de K comme lectotype, plus fournie en fleurs que les deux autres.
Khaya mildbraedii Harms View in CoL , Notizblatt des Botanischen Gartens und Museums zu Berlin-Dahlem 7: 223 (1917), « Kamerun, Weit nach Norden bis in den Bogen des Lom (Sanaga) vor der Vereinigung mit dem Djerem vorgeschobener Auslaufer der geschlossenen Hylaea um Dengdeng etwa 250 Km N O Jaunde».
— Type désigné ici: G.W. Mildbraed 8698, Cameroun, en-deçà du confluent de la Sanaga et du Djerem , environ de Dengdeng , 250 km au nord ouest de Yaoundé , avancée de la forêt dense humide fl., III.1914 (holo-, B† ; lecto-, K[K001089643]) .
REMARQUE
La situation est la même que pour K. euryphylla : type de Berlin disparu. La seule part retrouvée est à K; elle est retenue comme lectotype.
Khaya wildemanii Ghesq. View in CoL , Revue zoologique africaine avec Supplément Botanique 13: 29 (1926), ‘Wildemanii’.
— Type désigné ici: J. Ghesquière 62, Congo Belge, Kasai , fr., X.1924 (lecto-, BR[BR00000895410]! ; isolecto-, BR[BR00000895407,BR00000895440, BR00000895443, BR00000895476, BR00000982535]!).
REMARQUE
À BR, on trouve six parts de cette récolte, dont seules deux, BR00000895410 et BR00000895440 sont notées comme «Typus! » par Ghesquière. Nous choisissons comme lectotype la part fructifère avec des capsules démembrées et les graines associées. Les autres sont considérées comme doubles, dont BR00000982535, qui est constituée de deux fragments d’écorce.
Khaya agboensis A. Chev. ex A. Chev. View in CoL , Revue de Botanique appliquée et d’Agriculture coloniale 8: 209 (1928), « Côte d’Ivoire, dans la forêt, assez rare. Agboville, environs du pont de Chemin de fer, km 83. 8 novembre 1909 (en fruits jeunes) ».
— Type: A. Chevalier B. 22342, Agboville , environs du pont de chemin de fer, km 82, st., 1-11.XI.1909 (holo-, P[P00453217]! ; iso-, K[K001089642]!, SHO!, P[P06674537, P06674539, P06674540, P06674541]!) .
REMARQUE
Chevalier écrit «type» sur une seule part de P, qui est donc l’holotype, toutes les autres parts en sont des doubles, avec les mêmes indications de localité.
Khaya agboensis A. Chev. View in CoL , Exploration botanique de l’Afrique occidentale française 1: 116 (1920), nom. nudum.
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.
Kingdom |
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Phylum |
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Genus |
Khaya anthotheca (Welw.) C. DC.
Dipelet, Ulrich Gaël Bouka, Florence, Jacques, Doumenge, Charles, Loumeto, Jean Joël & McKEY, Doyle 2017 |
Khaya wildemanii
Ghesq. 1926: 29 |
Khaya mildbraedii
Harms 1917: 223 |
Khaya euryphylla
Harms 1902: 169 |
Garretia anthotheca
Welw. 1859: 587 |