Tapeinosperma rubidum Mez
publication ID |
https://doi.org/ 10.5252/a2012n2a7 |
publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:5A91572C-743B-495C-9FC7-F8DC9BF2ACB9 |
DOI |
https://doi.org/10.5281/zenodo.6456439 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/EB41A857-1F7E-FF86-FC97-FAECFEC3378E |
treatment provided by |
Marcus |
scientific name |
Tapeinosperma rubidum Mez |
status |
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Tapeinosperma rubidum Mez View in CoL
Bulletin de l’herbier Boissier, sér. 2, 5: 528 (1905).
TYPUS. — Nouvelle-Calédonie, Ou Hinna (versant est du Mont Colnett ), vers 600 m, fl. jeunes, 5. I.1903, Schlechter 15638 (néo-, P! [ P00835335 ], désigné ici) .
Le protologue se fondait sur l’holotype Schlechter 15518, conservé à B et probablement disparu. Aucun double n’en a été retrouvé, ce qui nous oblige à une néotypification.
AUTRE MATÉRIEL EXAMINÉ. — L’herbier de Paris comprend une quinzaine d’échantillons provenant du centre-est et du nord-est de la Grande Terre, dont un seul pourrait avoir été récolté sur terrain ultrabasique (Tchingou).
Nouvelle-Calédonie. Mandjélia (au-dessus de Pouébo ), vers 600 m, en crête, arbuste (3 m), fl. blanches, 15.XII.1969, MacKee 21299 ( BISH, CANB, CHR, MO, NOU, Z). — Aoupinié , vers 600 m, arbuste (3 m), fl. blanches, 31.I.1977, MacKee 32728 ( K, MO, NOU, NY). — Haut Diahot ( Tendé ), vers 600 m, arbuste (2 m), fr., 6.X.1978, MacKee 35816. — Tchingou , arbuste (2,5 m), fr., 29.III.2001, Munzinger et al. 521 ( MO) .
OBSERVATIONS
Tapeinosperma rubidum se reconnaît à ses limbes lancéolés, progressivement atténués vers le sommet obtus, vers la base en angle aigu, la partie la plus large se situant à mi-longueur et, généralement, sur le sec d’un brun-rouge assez vif à la face inférieure (où les points rouges, mentionnés par Mez dans sa diagnose, ne se distinguent pas toujours très nettement). Les inflorescences, beaucoup plus courtes que les feuilles, sont assez condensées, deux fois ramifiées (souvent – au moins en apparence – plusieurs axes), à tomentum ras de teinte assez claire. Il diffère nettement de T. lenormandii Hook.f. par ses fleurs sessiles ou subsessiles (pédicelle long au plus de 1 mm). Les fruits, noirs à maturité, sont globuleux, un peu comprimés, avec un diamètre de 7-8 mm.
La survie de l’espèce, dont l’aire de répartition assez vaste s’étend à des secteurs en partie protégés, et sans intérêt minier ni agricole, ne semble pas actuellement menacée.
P |
Museum National d' Histoire Naturelle, Paris (MNHN) - Vascular Plants |
BISH |
Bishop Museum, Botany Division |
CANB |
Australian National Botanic Gardens |
CHR |
Landcare Research New Zealand Limited |
MO |
Missouri Botanical Garden |
NOU |
Institut de Recherche pour le Développement |
Z |
Universität Zürich |
K |
Royal Botanic Gardens |
NY |
William and Lynda Steere Herbarium of the New York Botanical Garden |
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.
Kingdom |
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